Après le gras et le sel, c’est au tour du sucre de catalyser tous les maux de la terre. Accusé d’être le principal responsable de l’épidémie d’obésité, du diabète, et d’avoir même jeté l’opprobre sur le gras afin de dissimuler ses effets délétères, le sucre est désormais aux yeux des consommateurs et des praticiens, l’ennemi public N°1.
Ainsi une étude parue dans le British Medical Journal nous indique que depuis fin 2016, les recherches Google sur le terme allégé en sucre ont dépassé celles sur les allégés en gras qui n’ont cessé de décliner depuis 2004.[1]
Taxés, bannis, substitués, chassés, les sucres sont également dans le collimateur des évaluateurs : Nutri-Score®, les applications (Dietsensor, Open Food Facts, Yuka, Scanup,), foodwatch, …
En cette période de crise sanitaire, le lien entre obésité et risque aggravé pour les patients atteints de Covid-19 devrait faire prendre conscience aux consommateurs, si besoin en était, de l’importance de réduire leur vulnérabilité face à de tels dangers. Ainsi, une étude de la NHS indique que 60 % des patients du Covid-19 en soins intensifs étaient en surpoids ou obèses[2].
Cette étude de marché veut démêler le faux du vrai sur le plan scientifique et réglementaire. Elle cherche également à vous informer sur le niveau de connaissance et les attentes des consommateurs, ainsi que sur les tendances de marché.
Enfin, après avoir décrit différentes stratégies de réduction de sucre, elle vous proposera des solutions innovantes pour améliorer vos formulations en réduisant la teneur en sucres de vos produits sans compromission sur le goût.
Etude de marché réalisée par NutriMarketing – 60 pages – Pdf – 500 €HT – alix@nutrimarketing.fr
[1] Ingredient insights : War on sugar GlobalData 2018
[2] https://www.ibtimes.com/covid-19-warning-being-overweight-or-obese-ups-your-risk-dying-coronavirus-2945433