- Intégration de la durabilité environnementale : promouvoir des régimes alimentaires sains et durables, avec une végétalisation de l’alimentation et des critères environnementaux renforcés.
- Inclusion du sommeil comme déterminant de santé : reconnaître le rôle du sommeil dans la santé globale et l’intégrer dans les recommandations.
- Clarification du rôle de l’activité physique et de la lutte contre la sédentarité : mettre l’accent sur l’importance de l’activité physique et la réduction des comportements sédentaires, tout en encourageant des modes de vie actifs adaptés à chacun.
- Réduction de la précarité alimentaire : évoluer vers des modèles structurels plus équitables, comme la sécurité sociale de l’alimentation, et intégrer les publics vulnérables dans les politiques nutritionnelles.
- Amélioration de la gouvernance et de la lisibilité : renforcer les gouvernances locales pour une déclinaison territoriale du PNNS, avec des outils partagés, des indicateurs communs et un financement stable.
- Approche systémique et intégrée : aligner les objectifs de santé publique, d’équité sociale et de durabilité environnementale, en cohérence avec la Stratégie Nationale Alimentation Nutrition Climat (SNANC).
- Évaluation des impacts économiques et sociaux : mesurer l’efficacité des mesures de santé publique en nutrition pour maximiser leur impact et leur pérennité.
Ces ambitions visent à moderniser le PNNS pour répondre aux enjeux actuels de santé publique, d’équité sociale et de durabilité environnementale. (Source : HCSP)
