La 2e édition de l’étude State of Snacking* menée par The Harris Poll pour Mondelez international montre que les en-cas ont joué un rôle réconfortant pendant la pandémie, et font partie des habitudes de la plupart des consommateurs. Pendant la pandémie, 88 % des adultes dans le monde ont dit qu’ils grignotaient plus ou au moins autant qu’avant. La génération Y et les télétravailleurs ont préférés les collations aux repas. Les millénials sont 57 % à grignoter pour le réconfort (2020), pour 44 % de la génération X, c’est pour booster l’humeur et pour 36 % des babyboomers, la collation est une récompense.
Pour 52 % des répondants, le snacking a été une « bouée de sauvetage » pendant la pandémie, en particulier pour les parents qui télétravaillent. Le snacking serait un antidote à la solitude et un moyen de connexion.
77 % des adultes sondés ont établi une connexion avec d’autres grâce à la nourriture eu 2e semestre 2020 – préparer une collation ensemble, offrir une collation, faire les courses pour quelqu’un qui ne pouvait pas se déplacer.
Le snacking était déjà une des grandes tendances de consommation avant Covid. Mais la pandémie a tout de même changé les attentes des consommateurs et leur rapport au snacking : ils auront voulu manger mieux.
Le bien-être a été le moteur du snacking en 2020
*(Etude menée auprès de 6 292 personnes dans 12 pays dont les US, le Canada, le Mexique, la France, la Russie et l’Australie)