Flore offre aux jeunes Seniors digitaux – dits « silver surfers » – une expérience ludique, gourmande et éducative, en associant des produits essentiels au maintien d’une alimentation diversifiée à une application digitale pour les accompagner au quotidien.
L’offre Flore est ainsi constituée d’une part de produits plaisir pour une consommation quotidienne pendant 30 jours :
– des poudres 100 % naturelles de fruits (fraises, framboises, myrtilles sauvages)
– une poudre d’oignons 100 % naturelle
– des bactéries lactiques

D’autre part, d’une application mobile (compatible pour iOS et Android) pour accompagner les consommateurs dans leur utilisation des produits. Elle comprend des indicateurs de suivi de bien-être et de nutrition, propose des recettes originales, conçues par des chefs, adaptées aux produits et inclut une section pédagogique visant non seulement à promouvoir des habitudes alimentaires saines mais aussi faire découvrir le monde du microbiote intestinal à travers des quiz ludiques.
Enfin, Flore est aussi une marque engagée durablement. Que ce soit dans le choix de certaines de ses matières premières, comme l’oignon issu d’un circuit de revalorisation, ou dans la sélection de ses emballages, 100 % recyclés, Flore attache une attention particulière à toutes les étapes de son cycle de vie. Elle affirme son attachement pour le développement durable en adhérant au mouvement mondial « 1% pour la planète ».
Pour son lancement, le 11 mai 2020, sous forme de « preuve de concept », Flore s’appuie sur la plateforme de financement participatif « Ulule ». Cette plateforme invite les consommateurs à prendre part activement au lancement de l’offre :
En achetant les produits et testant l’application ;
En l’enrichissant par leurs suggestions et réactions.

La communauté ainsi créée, grâce à cette démarche collaborative, agile et digitale, permettra à Flore d‘établir son attractivité réelle sur le marché afin de perfectionner, étoffer et/ou généraliser son offre pour être toujours au plus près des attentes des consommateurs. denis@maflore.com

Dry4Good est une start-up qui utilise une technologie de déshydratation particulièrement innovante qui repose sur un procédé inédit de transformation à température ambiante. C’est une alternative à la lyophilisation qui apporte plus de goût et préserve les valeurs nutritionnelles et la texture des produits via un procédé particulièrement écologique.   Une innovation dans le secteur, puisqu’en s’affranchissant des fluides frigorigènes, Dry4Good devient une véritable alternative sur le marché de la lyophilisation dont les techniques de transformation actuelles par séchage à froid (jusqu’à – 80°) sont extrêmement énergivores.
Cette technologie prometteuse lui permet de remplir les exigences du Clean Label lequel vise à rendre clair et compréhensible par le consommateur final la liste des ingrédients, à éliminer les additifs artificiels, colorants, arômes de synthèse, ou encore à valoriser les produits naturels.
A cette technologie préservant la naturalité des ingrédients et l’environnement, s’ajoute une chaîne de production fondée sur la valorisation des matières fraîches agricoles françaises. L’ambition de Dry4Good étant de participer à l’amélioration de notre façon de manger dans son ensemble, la start-up s’organise en filière et privilégie le circuit-court dans une logique collaborative. Pour cela, elle s’appuie sur les agriculteurs locaux et ses ateliers sont mis en service au plus proche des lieux de culture. Ainsi, ses ingrédients en plus de restituer un maximum de valeurs nutritionnelles, de goût et de texture, sont cultivés à proximité, participant au développement économique d’une filière agricole locale française. La première unité de production est située au cœur de l’Oise et Dry4Good a obtenu le label « Produit en Ile-de France ».
À terme, Dry4Good entend étendre son modèle industriel à plusieurs unités en essaimant au plus proche des productions, toujours dans une logique de circuit-court et de valorisation de production locale. rjanssen@dry4good.fr

Un nouveau nom pour une nouvelle étape vers plus de Naturalité, qui vise à positionner Innov’Alliance comme  un acteur de référence du Grand Sud-Est, catalyseur d’une intelligence plurielle et collective au service de la Naturalité.
Innov’Alliance accompagne la transition écologique et technologique de l’Agriculture au service de ses 4 filières industrielles durables: Alimentation, Cosmétique, Ingrédients santé et compléments alimentaires, Parfums et arômes. www.pole-innovalliance.com

La table 2020 détaille les sucres (lactose, fructose, glucose, saccharose, maltose et galactose) pour les principaux aliments contributeurs aux apports en sucres. Egalement, pour être en adéquation avec les nouvelles pratiques alimentaires des Français, la table inclut désormais une cinquantaine de nouveaux aliments du régime végétarien (boissons végétales, …).

La table Ciqual 2020 est consultable gratuitement et intégralement téléchargeable sur le site internet Ciqual et disponible en OpenData.

Le Bio connaît un vif succès en France depuis quelques années.

En effet, la France atteint la place de N°2 en Europe avec 2 millions d’Ha de cultures Bio en 2018, juste derrière l’Espagne (2,2 millions d’Ha). Les Français consomment désormais plus de produits Bio que les Allemands jusque-là leader européen. Cette croissance de la production française permet de stabiliser les importations malgré l’augmentation de la consommation de produits Bio dans le pays.
En 2019, la consommation de produits biologiques en France (consommation des ménages et celle hors foyer) a connu une croissance annuelle de plus de 1,4 milliard d’euros atteignant 11,93 milliards d’euros, soit une croissance de +13,5 % versus 2018. La consommation moyenne de produits bio s’élève ainsi à 178 euros par an et par habitant.

La vente de produits frais – fruits et légumes frais, crèmerie, viandes, mer, traiteur, surgelés et boulangerie fraîche – représente plus de la moitié (57 %) du marché bio de détail.

Les produits qui connaissent les plus fortes progressions, c’est-à-dire supérieures à +15 %, sont principalement des produits transformés :

• +31 % pour les produits surgelés, particulièrement les glaces et sorbets, pizzas et légumes.
  • +24 % pour la bière.
  • +20 % pour les œufs malgré un repli des prix. Ils demeurent ainsi le produit le plus consommé en bio.
• +18 % pour les produits laitiers (hors lait liquide).
• +16 % pour l’épicerie.
• +16 % pour les jus de fruits et boissons sans alcool, essentiellement en grande distribution, avec une croissance remarquable des eaux aromatisées et des sodas.
• +15 % pour les légumes frais

La grande distribution est le principal moteur des ventes de produits Bio (55 % des parts de marché en 2019) et ce grâce au développement des linéaires et des gammes Bio tant en MDD qu’en marques nationales.

Les choses évoluent également hors d’Europe :
L’Allemagne est détrônée tant au niveau de la production que de la consommation de produits bio ; en effet, les Suédois domine largement la scène avec une consommation de 264 €/personne/an (France 178 € – Allemagne 144 €).

Impact Covid-19 sur le Bio
Grâce à la pandémie, les produits Bio qui avaient déjà le vent en poupe, ont littéralement explosés : la valeur du panier moyen a augmenté de 48 % sur la période Covid an magasin Bio. Les produits bio, perçus comme plus naturels que les autres, restent recherchés par les consommateurs, surtout en cette période de doute. De plus, ces rayons ne sont jamais restés vides ce qui favorise l’achat quand les rayons de pâtes, riz, farines, chocolat, traditionnels ont été dévalisés par les consommateurs en recherche de stock. Enfin, le recentrage sur le commerce en ligne et de proximité a mis à jour l’accès facile aux produits Bio aux yeux des consommateurs toujours pressés et cherchant à aller au plus vite dans les tâches ménagères.

Et demain ?
La sortie du confinement a montré une croissance vers les produits conventionnels au détriment des produits BIO (Linéaires – 25 juin 2020).
Cependant, à la faveur de la pandémie et de la prise de conscience de la population, la France a nettement verdi aux dernières élections. Les problèmes liés au réchauffement climatique sont associés à la pandémie au moins dans l’esprit des gens et les records de chaleur s’enchaînent entraînant pour le moins de la perplexité dans les rangs, voire de l’inquiétude. Dans ce schéma, le bio rassure et donne bonne conscience au regard de la planète.
Il est fort à parier que sa progression va se poursuivre si aucun scandale ne vient la perturber.
(source Agence Bio 2019)

4,9 t annuelle par habitant en baisse de 6,6 % en 10 ans

580 Kg de déchets ménagers (-2 % en 10 ans)
900 kg de déchets d’entreprises (-15 % en 10 ans)
3 400 kg de déchets de construction (+2 % en 10 ans)

66 % est recyclé ou utilisés (+13 % en 10 ans)
28 % sont éliminés (-15 % en 10 ans)
6 % sont valorisés en énergie (+59 % en 10 ans)

L’Ademe juge ces chiffres encourageants, mais attire l’attention sur leur fragilité. En effet, l’essentiel de cette baisse s’est effectué entre 2008 et 2014, à un moment où la croissance était en berne. La reprise de la consommation en 2016 s’est aussitôt accompagnée d’une reprise de la hausse du volume des déchets par habitant. (Relevé entre 2007 et 2017 – Ademe – Actu Environnement)

Le chènevis correspond à la graine qui provient d’un chanvre appartenant à la famille des Cannabaceae, de l’espèce Cannabis sativa L. C’est une plante annuelle, sélectionnée pour sa faible teneur en THC (inférieur à 0,2%).

Cette graine, sans OGM, sans gluten, sans lactose ni allergène est un super-aliment adapté à tous les régimes, allant des omnivores aux vegans en passant par les flexitariens.
Et pour cause, le chènevis français présente une multitude d’atouts notamment sa richesse en protéines facilement digestibles. Ces dernières représentent 24% de la graine entière, 30% de la graine décortiquée et 50% quand la graine est déshuilée (tourteau). Le chènevis affiche un profil protéique riche et complet (apport des 8 acides aminés essentiels), ce qui fait de lui un candidat idéal pour les consommateurs cherchant une protéine végétale durable, locale et très nutritive.
Également riche en acides gras polyinsaturés, la graine de chanvre a la particularité d’avoir un ratio oméga 3/oméga 6 de 1:4 proche de l’optimal recommandé par les nutritionnistes.
De plus le chènevis est très intéressant pour sa teneur en fibre, sa consommation est donc indiquée pour prévenir de nombreux désordres intestinaux et métabolique (diabète et surpoids).
Enfin, il est important de préciser que le chènevis bénéficie d’une richesse en micronutriment assez large : sels minéraux (magnésium, phosphore, potassium), oligo-éléments (cuivre, fer, zinc, manganèse) et en vitamines B1 et B6.

Tous ces atouts font du chènevis français un super aliment sous forme d’huile, de biscuit, bière, farine ou tout simplement en graines entières ou décortiquées pouvant être dégusté seul ou en accompagnement d’une multitude de recettes.

Une cuillère à soupe de chènevis décortiqué apporte :

• 85 % oméga 3
• 38% manganèse
• 22% phosphore
• 16 % cuivre
• 5 % fer et potassium
• 18 % magnésium
• 9 % zinc et vitamines B1, PP, B6 et B9
• Vitamine B2