Etude sur la Foodtech – 2019

La « FoodTech » est la rencontre entre le numérique et l’alimentation. Développée il y a peu, elle concerne la production (AgTech) – l’agriculture, l’élevage, vitro-culture et même en laboratoire (microorganismes), la transformation (FoodScience), le Retail, le Foodservice, les medias, le coaching…

Elle constitue une opportunité pour le futur, afin de développer de nouvelles solutions et de nouveaux produits, pour mieux nourrir les populations, améliorer et faciliter le travail, permettre aux consommateurs de choisir en toute transparence, proposer une solution pour, peut-être, réussir à nourrir les 8 milliards de personnes peuplant la Terre, sans accroître la décadence de l’environnement, ou de la santé publique.

Rapport 58 pages – Format pdf – Prix : 390 €HT – alix@nutrimarketing.fr

Produits français

Selon un sondage réalisé par BVA et B2B Intelligence pour les pains Jacquet, 91% des consommateurs ont davantage envie d’acheter des produits alimentaires qui soient français et 79 % des distributeurs déclarent que l’argument « produit français » permet d’augmenter leurs ventes. De plus, 73 % des consommateurs, 69 % des agriculteurs et 66 % des distributeurs se déclarent prêts à payer plus cher des produits fabriqués en France. La principale motivation reste le soutien à l’économie et l’emploi en France (80 % des consommateurs, 73 % des distributeurs et 75 % d’agriculteurs). L’origine française des matières premières est, de loin, le critère le plus important pour un produit fabriqué en France pour 80 % des consommateurs, 69 % des agriculteurs et 61 % des distributeurs.

AgroParisTech Service Études – La Junior Entreprise d’AgroParisTech

ASE (AgroParisTech Service Études), la Junior Entreprise d’AgroParisTech, est un cabinet de conseil étudiant qui propose des études à des prix extrêmement avantageux, dans des domaines diverses tels que l’agronomie, l’agroalimentaire, l’environnement, la foresterie,  la santé, la nutrition, les biotechnologies (rouge/blanche/verte), la biochimie, l’économie.

Les étudiants de l’école chargés de réaliser les études de nos clients sont sélectionnés par les soins des membres d’ASE (recrutement sur CV et lettre de motivation). Grâce à cette rigueur de sélection de nos juniors-consultants, nous garantissons le sérieux et les compétences de ces derniers.

Ils réalisent principalement des études de marché et de marketing stratégique pour aider les clients à mieux définir leur environnement stratégique et leur marché, en vue de retenir le positionnement idéal et les aider à cerner de nouvelles sources d’innovation et à les orienter dans leur décision à l’engagement dans telle ou telle innovation.

lucas.gouwy@agroparistech.fr

Sans gluten : tendances, consommation, marché, solutions innovantes – 2014

Le gluten est l’un des gros sujets des tendances 2014. Bouc émissaire parfait, le gluten a cristallisé les craintes de consommateurs en état de mal-être ou inquiets pour leur avenir nutritionnel. Cette mode est devenue tendance… mais pour combien de temps et pour quel business ?
Faut-il se lancer sur ce marché ? Qui sont les consommateurs ? Faut-il lancer une gamme spéciale ou décliner de nouveaux produits ?

Pour connaître les enjeux, les marchés et leur évolution, les différents ingrédients de l’allégation « sans gluten » (alternative ou nouveauté technologique), les fournisseurs et leurs récentes innovations, une étude approfondie est publiée par l‘agence NutriMarketing.

50 pages en version électronique (PDF) – Prix : 300 € HT – alix@nutrimarketing.fr

Efficacité des protéines laitières pour la réhydratation après l’exercice.

Une étude britannique (Nottingham Trent University et Manchester Metropolitan University) sur les boissons de réhydratation a démontré que les protéines laitières sont plus efficaces que les sucres pour la réhydratation après effort.

Ainsi, substituer 25 g par litre de sucres (maltodextrines) par des protéines laitières dans des boissons sportives (à base de sucres- 65g/L- et d’électrolytes) pourrait améliorer la capacité de réhydratation de ces boissons (au final, 25g/l de protéines laitières et 40g/l de sucres). Les résultats montrent qu’une solution de protéines laitières et de sucres serait mieux « retenue » après la déshydratation induite par un exercice physique. Il est aussi suggéré que gramme pour gramme, une protéine laitière est plus efficace pour augmenter la rétention hydrique qu’un sucre. Cela montre l’importance de la composition de la boisson dans son rôle de récupération hydrique. Le succès de cette boisson serait vraisemblablement dû à une vitesse réduite de vidange gastrique et donc de l’absorption de liquide globale. D’autres investigations doivent être menées pour déterminer cette relation. Vitanews 32

Orientation panification pour le miel !

Selon une étude menée en Chine (Jiangnan University), la poudre de miel aurait des qualités d’améliorant de panification et serait comme un substitut du sucre dans le pain. En effet, l’adjonction de poudre de miel à hauteur de 5 à 10 % améliorerait la cuisson du pain et augmenterait sa durée de conservation en diminuant le rassissement. Le fructose en poudre du miel serait davantage hygroscopique que le sucre.

Par ailleurs, le miel joue le rôle de colorant naturel de la mie (plus jaune) et de la croûte du pain.

Enfin, la poudre de miel a un effet positif sur l’activité des levures et sur la production de gaz pendant la fermentation, qui, combiné avec l’assouplissement apporté par le fructose sur les protéines de gluten, conduisent à des pains plus volumineux et se conservant plus longtemps. Cependant, les chercheurs ont remarqué que des concentrations trop élevées en miel (>10 %) avaient des répercussions négatives lors du pétrissage de la pâte (adhérences). Vitanews 32

La convivialité à la Française !

57 % des Français sont à table à 12 h 30 (38 % des Belges, 20 % des Allemands, 14 % des Britanniques). Cette régularité – 3 repas par jour à heures fixes – est une des caractéristiques du modèle alimentaire français. Et malgré les bouleversements de la sphère familiale ou professionnelle, ce modèle n’évolue que peu. Le temps du repas reste stable lui aussi et apparaît comme nécessaire à la vie en société. Manger en France est tout d’abord une question de convivialité tandis aux USA, il s’agit d’un geste technique reposant sur une question fonctionnelle de l’alimentation. Cette exception française pourrait bien être notre bouclier contre l’obésité. Plaisir & Alimentation sont liés en France et trouvent un écho au-delà de nos frontières . En effet, le « Made in France » est un atout à l’export et véhicule souvent Art de vivre, Gastronomie et Qualité. (« Le modèle alimentaire français contribue à limiter le risque d’obésité » Credoc – www.credoc.fr)